600 ou 700 mètres de dénivelé depuis Nerin et puis, tout d’un coup au sommet du pic de Mondoto, une vue magnifique sur le canyon d’Añisclo, quelques 1000 mètres plus bas. En piètre photographe que je suis, je n’ai pas réussi à prendre un cliché correct de ce gouffre. Il faudra donc vous contenter de celui-ci où on devine un peu les choses…
Le Mont-Perdu –el Monte Perdido pour les espagnols- est là lui-aussi. Du haut des ses 3355 mètres, il domine le paysage, toujours accompagné des ses deux soeurs -on appelle cet ensemble les Tres serols– le cylindre du Marboré et le Soum de Ramond.
En redescendant au milieu des pâturages, par des sentiers non balisés -merci Monsieur le GPS, sans vous nous nous serions perdus-, j’ai pensé à Cathulu. Si vous ne la connaissez pas, allez faire un petit tour chez elle et observez sa bannière, vous comprendrez…
Bon, allez, j’avoue ! Ces vaches se sont mises à nous courser et j’ai eu la trouille. Monsieur s’est bien moqué de moi !!!! Elles n’ont pas l’air comme ça mais elles sont impressionnantes 🙂 !
Prochain épisode : en chemin vers le refuge de Goriz.
Oh, des vaches qui voulaient jouer ! Mais je confirme elles sont impressionnantes!
@cathulu : !
Les photos de ce genre sont très difficiles à réussir, et çà ne rend jamais ce que l’on a sous les yeux. Mais on voit bien que c’est beau. Moi aussi j’ai pris des vaches en photo pour Cathulu, il faut seulement que je trouve le courage de m’en occuper
j’ai passé une semaine il y a quelques années à randonner dans ce coin : splendide !