« Car les œuvres humaines donnent forme à ce qui nous hante dans tous les domaines. Elles sont le théâtre de notre conscience. Quand l’enfant les rencontre, il comprend qu’il n’est pas seul. Que d’autres, avant lui et autour de lui, ont été, et sont encore, confrontés aux mêmes questions. Il peut ainsi nommer ce qui l’inquiète, se construire des images pour apprivoiser ses peurs, mettre des visages sur les fantômes de sa conscience. Il peut alors manipuler ses pulsions et ne pas être condamné à être manipulé par elles ». p. 242
MEIRIEU, Philippe, Lettre aux grandes personnes sur les enfants d’aujourd’hui, Rue du monde, 2009.
C’est sûr que certaines personnes feraient mieux de lire plus de livres, ils diraient moins de conneries !!!
Je suis un inconditionnel de Ph Meirieu
@L’or des chambres : je ne suis pas certaine que ce soit aussi simple que cela, malheureusement…
@alain : j’ai assisté à une de ces conférences en octobre dernier et ce qu’il dit est très intéressant même si, au quotidien, avec les zélèves, c’est pas si simple que dans les beaux discours !