Devenir parents, c’est pas toujours simple. Surtout quand on ne s’y attendait pas tout de suite… Nico nous raconte avec humour sa paternité, de l’annonce de la grossesse au tout premier mois de la vie de bébé. Des croquis en noir et blanc qui dépeignent des situations que tous les parents connaissent bien : symptômes plus ou moins dérangeants de la femme enceinte, choix du prénom, accouchement, premières nuits, cernes sous les yeux, tétées, etc.
Une BD qui se lit très vite, avec le sourire aux lèvres puisque forcément, on se retrouve dans certaines scènes. Futurs parents, ne vous inquiétez pas, c’est pas si terrible que ça 🙂 !
NICO, Parents ? Au secours !, Éditions Volpilière, 2010.
Je l’ai reçu aussi et je retarde sans cesse la parution de mon billet parce que vraiment, je n’ai pas du tout aimé: les dessins, l’humour lourd…
Je ne suis pas une bonne lectrice pour les BD : je ne sais pas apprécier les dessins, et passe toujours à côté du fond de l’histoire à cause de cela ( je l’ai constaté en comparant mes avis de lecture avec mon fils qui a une sensibilité particulière avec les BD du fait de sa dyslexie)…
Mais dis donc, depuis quand as-tu reçu la Masse Critique ? Je n’ai rien eu encore. Fallait-il confirmer ? Bonne journée Saxaoul !
@Cécile : Reçu le mien hier ! le tien est sûrement en route
Je sais à qui offrir cette BD en tout cas!
Tiens, ça a l’air rigolo… je ne suis pas sûre de m’y reconnaitre déjà avec une pitchounette de 10 mois mais ça ne devrait pas tarder
@Valérie : c’est loin d’être la BD du siècle mais certains croquis sont assez marrants.
@Cécile : je ne suis pas une spécialiste de la BD non plus. Je l’ai reçu la semaine dernière mais je n’ai pas encore reçu le deuxième car j’ai eu la chance d’en avoir deux ! Pas besoin de confirmation !
@mago : il faut quand même que la personne soit sensible à l’humour de Nico.
@Kikine : Bienvenue sur ce blog. je file visiter le tien !
Tiens, j’étais en train de penser à cette amie qui vient de m’annoncer qu’elle attend un bébé…;o) C’est bien aussi de ne pas laisser croire que tout est rose, cela déculpabilise des moments moins bien, et dédramatise les désagréments.
Je l’avais demandé lors de la dernière masse critique de Babelio, mais j’ai finalement reçu un autre titre.